Une tunisienne à la tête du CIGL qui souffle sa 5ème bougie démocratique en Tunisie

Il y avait une ambiance festive ce jour là en ce lieu sublime de l’Acropolium de Carthage pour fêter les cinq ans de la CIGL-VNG en Tunisie. Cet organisme  qui a pour essentielle vocation de soutenir les processus de  décentralisation, la gouvernance urbaine démocratique et le développement économique et social, opère également dans la région de Moyen Orient et de l’Afrique du Nord (MENA).

Une femme, une tunisienne à la tête du prestigieux Centre International, elle se nomme Neila Akremi. Elle a rappelé ce jour là que le prestigieux centre est appuyé par des bailleurs de fond bilatéraux tels les ministères des affaires étrangères des Royaumes des pays bas, du Danemark et aussi de l’Union Européenne. Neila Akremi a confié malgré tout qu’il n’a pas été aussi facile d’obtenir ces financements mais que « l’exception tunisienne du Printemps Arabe et l’obligation de donner de l’espoir au peuple tunisien a beaucoup aidé dans cette prise de décision ». Tout au long de ces échanges enrichissant et encouragent en présence des représentations de plusieurs régions défavorisés du Centre et du Sud, la fête a sonné vraie enveloppée de bonne musique grâce à la virtuose du violon Yasmine Azaiz. Le ministre de la gouvernance libyenne était également présent ainsi que plusieurs diplomates, des membres du gouvernement tunisien, politiciens, journalistes, artistes… unis pour une Tunisie qui bouge vers la marche démocratique.

 

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