Hager Ben Cheikh Ahmed refuse « un précieux piston ».

Ses responsabilités au sein de la Chambre des députés, ne font pas oublier à Hager Ben Cheikh Ahmed de se comporter au quotidien en femme soucieuse de son foyer et au bien être de sa famille. Souvent en citoyenne, qu’elle soit au marché, chez le coiffeur, ou quand sa voiture est emportée en fourrière alors qu’elle était au service d’un autre citoyen ou encore dans l’administration pour un papier urgent… elle s’est toujours conduite en citoyenne simple devant l’étonnement de certains. Elle se trouvait ce jour à la Municipalité de la Marsa pour des extraits de naissance. Le tableau affiche le numéro 097. Elle tire un numéro où est marqué 200! La salle était archicomble et beaucoup de personnes étaient dehors pour éviter le nombre qui annulait sans doute la climatisation à bout de souffle autant que ceux que ceux qui prenaient leur mal en patience, comme Hager Ben Cheikh Ahmed qui confie :
« J’attendais… Les deux employées derrière le comptoir de l’Etat Civil me disent bonjour… » H.B.A répond poliment et demande pourquoi toute cette accumulation. « On n’arrête pas pourtant de travailler depuis ce matin, se justifiaient les employées.
– Oui et alors, s’étonne la députée ? ». C’est à ce moment là que l’une
des employés la reconnaissant sans doute, lui demanda quel numéro elle avait? « 200 répondit HBA ». « Donnez moi juste les noms, je vais vous ramener les extraits illico presto s’empressa de répondre l’employée. »
Hager Ben Cheikh Ahmed refuse catégoriquement et demande à attendre comme tout le monde.
Les deux employées sont alors sorties sans doute au café du coin, laissant leurs collègues submergés devant une file interminable…
« Le numéro 103 est affiché et Il y a encore 97 personnes devant moi. Deux employés seulement au comptoir. Les personnes à l’extérieur ont des numéros dans les 139 et 140 et quelques… confie Hager Ben Cheikh Ahmed… » .
Est-ce normal ? S’interroge encore la députée. »
L’administration au service du citoyen dites-vous ! A vous d’ouvrir le débat à l’ARP chère députée.

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