Gafsa : Qui est le fiancé de la fillette de 12 ans ? La véritable histoire familiale abracadabrante
C’est alors, que le frère, désirant s’éloigner du cocon familial où il en a vu de toutes les couleurs, a délocalisé en compagnie de son épouse, dans la région de Tunis. Celui-ci n’avait trouvé que de petits boulots précaires et mal rémunérés, avant que sa compagne ne l’influence pour l’accompagner vivre parmi les siens, dans sa bourgade d’origine. Le jeune homme a été un jour assassiné. Après le décès de son fiancé, la dame donna naissance à une petite fille. Elle ne pouvait lui donner le nom de ce géniteur parti trop tôt, puisque rien d’écrit ne prouvait cette filiation, ni une quelconque relation légale.
Aussitôt sortie du premier pétrin cette dame, ne tarda pas à donner naissance à un garçon, fruit d’une relation passagère. Fatiguée et usée de sa vie de débauche, elle décida de jeter l’ancre. Elle voulait se stabiliser, dans un foyer qui abriterait ses deux enfants, qu’elle cherche à protéger du froid et la faim. Elle jeta son dévolu sur un de ses collègues de travail, dans un bar restaurant de la ville. Vite décidé, vite consommé un mariage de raison eut lieu. Les deux enfants ont été bien acceptés par le beau-père. La couleur de sa peau a peut être posé un problème à sa fille, qui refuse toujours d’’admettre de remplacer son père. Leur relation ne cessait de se détériorer sans que le temps n’arrange les choses. Vivre sous le même toit avec un étranger de couleur différente, était une situation intenable pour cette fillette bien ossue pour son âge. Elle avait une taille élancée et une poitrine opulente et bien galbée.
Cette poupée de cire, poupée de sang, du haut de ses douze ans, faisait beaucoup plus que son âge. Elle fréquentait une école et est très brillante raflant tous les prix. Un jour, elle a été courtisée par un jeune. Celui lui a plu et elle l’aguicha. Il tomba follement amoureux. Le prétendant est âgé de vingt et un ans. Il est engagé dans le corps de l’armée de la marine nationale loin de sa dulcinée. La fillette qui cherchait à s’extraire d’un cocon familial dur inhospitalier et point douillet s’accrocha à son chevalier qui lui paraissait doux et rassurant. Elle vécut toute sa plus enfance, sans aucune tendresse. Elle en garda un souvenir terrible et, elle ne trouva personne à qui se confier, encore moins son père adoptifs ne prêtant aucune attention à sa souffrance marquée d’un complexe que, tout au long sa pénible vie, qu’elle essaye d’effacer. Elle a toujours cherché « un père », cette protection naturelle et puissante qu’elle n’eut pas à l’âge où un enfant en a besoin. C’est un père, une protection, qu’elle chercha à l’âge de 12 ans en se fiançant sans doute. Elle chercha à s’abriter sous une autorité qu’elle quête quand elle l’épousera.
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