“ Faire payer la victime et gratifier le bourreau”

Sommes-nous en droit d’interdire le port du voile et la burqa ?

Toute loi est relative et conjoncturelle, elle est fondée pour des nécessités, des besoins et des intérêts essentiellement de gestion sociale et politique. Notre siècle marquée par les invasions islamistes, le terrorisme mondial, la violence, et les enjeux de guerre et de paix, je pense qu’interdire la burqa et le voile sont une partie prenante pour lutter contre la conquête terroriste. Les islamistes instrumentalisent la femme à fond pour dominer et envahir les espaces.   C’est à partir de la manipulation mentale qui touche souvent le changement du mode de vie et des besoins directs de la population qu’on arrive à s’incruster et gagner en intensité et en puissance. Pour notre temps spécifique et afin de lutter contre la manipulation mentale et psychique pour des intérêts de conquêtes et d’envahissement.  Je crois qu’il est nécessaire d’interdire le voile et la burqua et inviter la société à une certaine uniformité garante de transparence et de sécurité.

Je ne pense pas qu’une femme vraiment croyante avec une foi solide va arrêter d’être croyante si elle ôte son le voile ou sa burqa.

Plusieurs psychologues affirment qu’il existe une connotation inconsciente entre le voile, la burqa et la sexualité ?

Contrairement à ce qu’on peut croire ou penser le voile et la burqua n’ont rien de sexuel au sens érotique. Ils ne favorisent aucun interdit   sexuel. Autrement ça ne renvoie pas aussi à une sexualité refoulée ou à une auto-censure. Si on étudie les textes qui organisent la sexualité en islam on peut être étonnés des multiples possibilités de “ nikeh” soit de hasard soit permanents. Toutes les formes de sexualités sont permises et admises.  Il suffit de leur coller le terme “halal”. Une simple petite recherche vous surprendra. Les terroristes, les cheiks, les buquées et les voilées islamistes sont les plus affranchis sexuellement. C’est là que l’inconscient émerge comme matrice des profondeurs dévoilant une sexualité d’apparence chaste et vertueuse et en réalité chaotique, orgiaque primitive et même diabolique.

Il ne s’agit pas d’une sexualité de désir ou d’amour mais d’une sexualité de conquête d’usurpation, d’abus et d’absorption du corps de l’autre, c’est une sexualité criminelle comme leur discours.  Ceci nous mènera à observer que le voile et la burqa ne sont en aucun cas de figure garantes d’équilibre sexuel.  Il s’agit d’une jouissance de cruauté et d’usurpation du corps de l’autre  plutôt que  la jouissance réciproque du plaisir  partagé par deux corps, d’où la permission de toutes les perversions sexuelles et morales considérées normales et même canonisés “halal” …lapidation , viol , mariages d’enfants , polygamie , concubinages  , pédérastie , crime d’honneur , crimes sexuels , « jihad nikeh » et même zoophilie et nécrophilie…  Une sexualité de terreur…

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