La migration irrégulière au Maroc, en Algérie et en Tunisie traitée autrement

La question de la migration irrégulière n’est pas récente. Elle revient à de longues décennies.  Les effets s’accentuent Surtout pendant les crises et au fur et à mesure de la fermeture des frontières.

Des milliers de jeunes maghrébins migrent chaque année clandestinement vers les rives nord-méditerranéennes avec pour tout bagage des rêves de jours meilleurs.

Le Maroc, la Tunisie et l’Algérie sont les pays de l’Afrique en tête de classement selon un rapport récent de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes  (FRONTEX).

Même si le sujet de la migration irrégulière a été  traité dans les médias et dans les œuvres artistiques, cette fois-ci, Munathara Initiative, lance le débat autrement.

Après le grand succès du premier Town Hall tunisien qui a eu lieu en mars dernier sur la loi 52, Munathara organise une première dans le monde arabe dans son deuxième Town Hall maghrébin. Neuf jeunes participants venant des trois pays voisins à savoir le Maroc, l’Algérie et la Tunisie, mèneront la discussion deux heures durant, face à des experts et des activistes sur la question.

Sous le titre de « L’immigration irrégulière, pourquoi? », le Town Hall aura lieu ce dimanche 31 octobre à 21h en direct sur plusieurs médias des trois pays participants.

 

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