David Bowie : Sa nouvelle biographie qui parle de son penchant pour les extrêmes !

Déjà un an et demi après la mort du chanteur David Bowie, voilà qu’une nouvelle biographie de ce dernier a fait surface et paraitra bientôt. Des révélations choc sur les excès de la légende du glam rock, mort à 69 ans.

C’est le rédacteur en chef du magazine GQ, qui a eu l’occasion de fréquenter le chanteur avant sa mort, qui a l’intention de faire ces révélations dans une biographie qui sortira en septembre et qui est intitulée : « David Bowie : A Life ».

Dans le Daily Mail après la publication de quelques extraits, il explique que l’interprète de « Starman » a mené une vie très « over rocked » jusque dans les années 90.

Le chanteur était en effet un grand consommateur de sexe.  » L’artiste Lindsay Kemp s’est réveillée une fois et a entendu des bruits dans la chambre voisine. David Bowie était au lit avec sa meilleure amie et les murs tremblaient » rapporte ainsi Dylan Jones.

Le sujet de la nécrophilie a été également posé … C’est Josette Caruso, une groupie qui l’a connu en 1972 qui assure que David Bowie « était l’ultime amant rock’n’roll » Il ressemblait tellement à un mec anormal que des gens tarés pouvaient penser qu’il donnait dans la nécrophilie. Quelqu’un venait de se pointer et de lui proposer un corps mort et encore chaud pour coucher avec » a-t-elle confié … « Pourquoi est-ce que je serais intéressé par baiser un putain de cadavre ? » aurait répondu le chanteur à cette proposition plus que choquante.

David Bowie était fasciné par Hitler, il avait également une consommation de drogue hors norme, il est devenu tellement accro à la cocaïne au point d’aller jusqu’à s’implanter du cartilage dans le nez pour le réparer de ses excès, raconte un autre témoin, Glenn Hughes. Un excès qui l’a rendu délirant et le faisait fondre dans le « narcissisme d’Hitler ».

« Il ne voulait pas être Hitler, mais il était fasciné par la mouvance nazie. Vous partiez en transe sous cocaïne et lui voulait juste voir des bobines et des bobines de films nazis. Il n’a jamais fait le geste du bras, il était juste fasciné » raconte son ancien ami.

Mais c’est sa rencontre avec le mannequin Iman qui l’a sauvéé de cette routine meurtrière. Une rencontre qui s’est conclue par un mariage deux ans plus tard en 1992 et qui a fait de Iman la femme de sa vie. C’est là qu’il s’est arrêté de fumer, de se droguer et a repris une vie plus normale, à New York.

SBA

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