Quand la cité de la culture à Tunis est comparée au Centre Pompidou à Paris.

La première session de l’art contemporain de Carthage organisée par le ministère de la culture et dirigée par madame Faten Chouba était une si belle occasion aux artistes tunisiens et étrangers de mieux se connaitre.
Une exposition d’ œuvres aux galeristes, critiques d’arts, commissaires d’exposition de différents pays étaient magnifiquement exposée sous les projecteurs.

Il était prévu que ces journées ne durent que 4 jours mais une demande à été adressée au ministre de la culture pour prolonger l’événement et permettre ainsi au maximum de personnes de visiter les stands.
Dans le pavillon du ministère de la culture, les œuvres de 3 grands artistes tunisiens vivants ont été exposés, celle de Nja Mahdaoui, Rafik Kamel et Hedi Turki. La fête était en plus double avec le cinquantième anniversaire de l’union des artistes tunisiens qui regroupe plus de 1000 artistes plasticiens.

Avec 50 œuvres au pavillon des journées de l’art contemporain, à la cité de la culture, 70 œuvres à la galerie Ibn Khaldoun, 70 œuvres à la galerie de Ben Arous et 150 œuvres de petits formats au bus, au total 300 œuvres! véritable référence.
Une vingtaine d’œuvres de la fédération tunisienne a été exposée à la cité et une vingtaine à la galerie Ali Guermassi.

Le syndicat des artistes a présenté dans son pavillon 16 artistes. Des galeristes privés tunisiens et étrangers de différentes nationalités dont le Koweit, la Turquie, les Emirats, la Palestine, les Emirats, l’Algérie, la Lybie et la Mauritanie et un vernissage exemplaire eut lieu.

Un véritable plaisir offert aux regards admiratifs d’un si important et étonnant nombre de visiteurs qui espèrent vivre encore de tels événements artistiques dans cette cité culturelle unique. Certains ont même comparé le lieu au patio du centre Pompidou à Paris. Et pourquoi pas comme le pense Aida Kchaou Khrouf, une artiste tunisienne qui a jalonné les grandes galeries du monde « Ceci pourrait se faire en coordonnant l des associations et en prenant contact avec les nombreux artistes.

Les commentaires sont fermés.